Articles et Critiques

Général Guillermaz, directeur d’études à l’Ecole des Hautes Etudes en Sciences Sociales (E.H.E.S.S.) et directeur du Centre de recherche et de documentation sur la Chine contemporaine, 14 janvier 1995

« Le manuscrit que vous avez bien voulu me communiquer est remarquable à double titre. La personnalité active et généreuse de M. Henri Maux y apparaît tout au long du texte, et d’une manière particulièrement dramatique et émouvante, au cours de son expédition pour retrouver sur le Haut-Yantzé, son ami et collègue hollandais.
Sur un autre plan, le contexte général de la Chine, au cours des années 1937 – 1939, y est fort bien et fort exactement présenté, qu’il s’agisse des grands événements politiques et militaires ou des comportements individuels et collectifs de la population. Enfin le problème important et si difficile à résoudre que celui des communications et des transports civils et militaires, dans les régions sud et sud-ouest de la Chine en guerre, s’y révèle largement, qu’il s’agisse de la nature ou des hommes… En résumé, un futur ouvrage sérieux, bien écrit, qui devrait retenir l’attention des lecteurs que l’histoire de la Chine contemporaine intéresse.»

Monsieur Louis Bianco, sinologue, successeur du général Guillermaz à l’E.H.E.SS, et au Centre d’Etudes sur la Chine moderne et contemporaine, 17.12.00

« Je souscris entièrement au jugement du général Guillermaz. Tant le contexte politique et militaire que le comportement de la population et les portraits des dirigeants, rencontrés par Henri Maux, sont décrits avec exactitude, précision et sobriété… Judicieusement choisies, les photographies illustrent remarquablement le texte et certaines sont très belles. Je vous remercie de m’avoir permis de suivre votre père à travers les vallées du Kweichow et du Kwangsi, ainsi que sur les pentes de la fameuse route de Birmanie. »

Le pont de Pankiang (16 juin 1938)

Monsieur Yves Chevrier, sinologue, directeur d’études à l’E.H.E.S.S et directeur du Centre d’Etudes sur la Chine moderne et contemporaine, 12.5.99

« J’ai pris beaucoup de plaisir à lire votre manuscrit. Il est d’un style très direct et, tout en étant centré sur le travail de votre père, il laisse percevoir une Chine vivante, souvent généreuse dans ses difficultés, parfois étonnante… Il me semble que l’intérêt de cet ouvrage tient à l’exactitude dans la restitution d’un témoignage. Il serait inutile de l’alourdir d’un appareil critique, qui transformerait sa nature, c’est pourquoi j’ai borné mon rôle à celle d’un lecteur intéressé. Je souhaite un plein succès à votre publication. »

Madame Salmon-Lombard, sinologue, CNRS, 13 novembre 1999

« Voilà, je suis arrivée à la dernière page et je vous remercie bien vivement pour cette très belle lecture. Vous avez un très beau style et vous êtes parfaitement imprégnée de votre sujet, au point que parfois vous parlez en votre nom. Je veux dire, lorsque vous vous associez à Henri Maux… Ayant fait ma thèse sur le Guizhou (Kweichow), je vous fait part de la traduction par mes soins d’un poème sur le Panjiang (Pankiang) qui donna tant de tracas à Henri Maux. En hommage à la mémoire de votre père »

Madame Danielle Elisseeff, sinologue, chercheur à l’E.H.E.SS et co-rédacteur en chef de la Revue Bibliographique de sinologie, le 5.11.99

« Votre livre est une merveille de vie, d’une étonnante présence, par le texte et par la photo. Je vois avec plaisir que votre éditeur a su rendre hommage à ce texte si vigoureux. Un compte-rendu du Dragon de l’Est paraîtra dans la Revue bibliographique de sinologie. J’en ferai moi-même la recension s’il le faut, mais j’essayerai d’abord de proposer cette rédaction à un spécialiste de la période. Mon mari se joint à moi pour vous remercier de votre dédicace, si chaleureuse, et souhaiter un beau succès à ce morceau d’histoire franco – chinoise. »

Revue bibliographique de Sinologie, texte de Françoise Kreissler, décembre 2001

« Arrivé en Chine en juillet 1937, au tout début de la guerre sino-japonaise, Henri Maux (1901-1950) polytechnicien et ingénieur des Ponts et Chaussées, fut un des experts délégués par la S.D.N auprès du gouvernement de Nankin, avec pour mission de concourir à la remise en état et à la modernisation de l’infrastructure routière des provinces méridionales de la Chine. Jusqu’au printemps 1939, Maux sillonne les contrées du Sud et du Sud-ouest du pays, où, en coopération avec des ingénieurs chinois, il s’attache à réaliser les travaux dont le gouvernement nationaliste espère qu’ils contribueront à prévenir l’avance japonaise. A travers les archives familiales, l’auteur, fille de Henri Maux, présente sa vie professionnelle, sociale et familiale. L’ouvrage, rédigé dans un style agréable et non dépourvu d’humour, restitue l’engagement professionnel de ces experts étrangers qui témoignèrent tous de leur attachement pour la Chine en guerre ».

Henri Maux sur le pont de Pankiang (16 juin 1938)

Revue d’Histoire d’Outre-Mer, texte du rédacteur en chef, Pierre Brocheux, université de Jussieu, 10.07.00

« Henri Maux, sorti de Polytechnique et de Supélec, fit partie de la cohorte des ingénieurs français qui exercèrent leurs talents et leurs compétences dans les colonies. D’abord affecté au Cambodge, comme ingénieur en chef des travaux d’équipement public. Puis en Cochinchine où il joua un rôle important dans le domaine de l’hydraulique du Transbassac, il poursuivit sa carrière en Chine, au sud du fleuve Yang-tseu en tant qu’expert de la SDN. A suivre ses itinéraires et à regarder les lieux où il a passé et séjourné, je me dis qu’il a dû croiser Ho Chi Minh, revenu de Moscou en 1938 et en activité dans le Guanxi et Yunan jusqu’en 1944..

Nous sommes en présence d’une reconstitution des activités d’Henri Maux au cours des dix missions qu’il effectua en Chine du Sud, de 1937 à 1939. Certes Maux était un étranger, mais un étranger respectueux du pays et de la population où il séjournait, avec des yeux et des oreilles grand ouverts sur son environnement. Nous sommes en présence d’impressions et d’aperçus, souvent furtifs, mais toujours sympathiques sur un pays en voie de modernisation mais aussi plongé dans une guerre qui allait être longue et meurtrière. Henri Maux a un regard étranger qui ne peut qu’effleurer la réalité chinoise, néanmoins les souvenirs rassemblés dans ce livre sont dignes de retenir notre attention. L’histoire des historiens utilisera cette mémoire…. »

Journal des Historiens et des Géographes, par Pierre Garrigue, historien, chef de l’Inspection générale à l’Education nationale,  janvier 2001

« La lecture du Dragon de l’Est m’a passionné. Au déjà de son itinéraire personnel aussi exemplaire que peu banal, on y trouve un témoignage de première main sur la Chine et les relations franco – chinoises, à la veille de la révolution maoïste. ». (Courrier personnel à l’auteur).

« Cette relation de la mission en Chine, de juillet 1937 à juillet 1939, dans le cadre de l’assistance technique de la S.D.N, d’un ingénieur français des travaux publics, a la couleur sepia des souvenirs de famille. Illustrée d’une cinquantaine de photographies prises par le Voigtlander d’Henri Maux, elle aurait un parfum de « Croisière Jaune » si la saga familiale ne rencontrait ici les chemins de la grande histoire. Dans la nuit du 7 juillet 1937, tandis que le paquebot emmenant en Chine notre expert international remontait la rivière de Shanghaï, éclatait aux environs de Pékin l’incident du Lukou Chiao, qui marque le commencement de la guerre sino – japonaise. On ne peut s’empêcher de songer à la célèbre ouverture des Conquérants… Mais Henri Maux n’est pas un héros de Malraux : fonctionnaire du corps des Ponts et Chaussées coloniaux, en poste au Comité des Grands Travaux de la Présidence du Conseil du gouvernement du Front Populaire, il a choisi, par goût du grand large, de mettre ses compétences au service du programme d’aide à la Chine, de la SDN. Deux années durant, Maux suivra le gouvernement nationaliste dans ses migrations successives devant l’avance japonaise – de Nankin à Hankéou, de Hankéou à Chungking – tout en consacrant l’essentiel de ses activités à d’inconfortables et souvent périlleux voyages d’inspection des voies de communication. Assisté d’ingénieurs et de techniciens chinois, le plus souvent formés dans les universités d’Occident, il s’efforce de poursuivre la modernisation d’un réseau routier médiocre, lacunaire, et mal entretenu. Mission passionnante sans doute, mais dont les particularismes provinciaux et l’état de guerre accroissaient les difficultés.

En hommage à son père, disparu en 1950 dans une catastrophe aérienne à Bahreïn, alors qu’il était à la tête de la Commission Economique française d’Extrême – Orient, l’auteur a entrepris de publier, à partir des correspondances familiales et des documents techniques légués par Henri Maux, le récit de cette mission. Recoupant ces fonds privés avec les archives du ministère des Affaires étrangères, interrogeant les témoins survivants des événements, elle s’est efforcée, sans être une historienne de métier, de restituer à cette aventure personnelle sa dimension historique. Cette dimension tient en premier lieu à ce que nous pouvons apprendre ici de la vie et des tâches quotidiennes d’une équipe internationale d’experts de la SDN dans une Chine en voie de modernisation au lendemain de la mise à la raison des « Seigneurs de la Guerre » et du repli des Communistes dans le nord-ouest, au terme de la Longue Marche. Dans un vaste programme d’assistance qui recouvre la santé, l’agriculture et les travaux publics, ce dernier domaine revêt, avec le conflit sino – japonais, une importance stratégique, qui donne à la mission d’Henri Maux un sens et une portée qu’elle n’avait pas au départ. La conquête par les Japonais des régions côtières, fait de l’amélioration des communications routières ou, par voie ferrée, vers la Birmanie et l’Indochine un impératif de survie pour le gouvernement chinois. Avec l’appui de T.V. Soong, beau-frère et conseiller de Chiang Kai-shek pour les affaires économiques, Maux se consacre au développement dans le sud-ouest de la Chine, des activités du « Southern Highway Bureau », chargé du réseau routier dans les provinces du Kwangsi et du Yunnan. Il s’agit de faire de la route de Birmanie (dont on sait le rôle dans la conduite des opérations de la Seconde Guerre Mondiale en Asie du sud-est) – et que notre expert qualifie « d’excellente route de saison sèche » – une artère vitale pour le ravitaillement en toutes saisons de la Chine en guerre. Les reconnaissances sur le terrain jusqu’à Rangoon et les rapports techniques de l’expert français, marquent en décembre 1938 l’ouverture de la route de Birmanie, en préface aux grands travaux des Alliés dans le conflit.

Expert international, Henri Maux n’en entretient pas moins des relations privilégiées avec les autorités françaises, qu’il s’agisse de nos diplomates en poste en Chine, ou des services du Gouvernement Général en Indochine. Par sa position géostratégique, l’Indochine française représente, avec le port de Haïphong et le chemin de fer du Yunnan, une voie de transit pour le matériel militaire et les biens d’équipement comme pour les exportations, notamment l’étain et l’antimoine, de la Chine du Sud. Témoin des hésitations de la politique française dans cette région du monde, Henri Maux ne cesse d’alerter le ministère des Affaires étrangères et les autorités indochinoises sur l’importance de l’aide apportée à la Chine par les Anglo-saxons et, de façon plus inattendue, par les Allemands, alliés du Japon, mais qui ont gardé d’étroites relations avec le Kuomintang. Sa correspondance se fait l’écho, en février 1938, de son découragement à l’annonce de la décision du gouvernement Chautemps, devant les pressions japonaises, d’interrompre toute livraison d’armes à la Chine, comme des espoirs suscités par l’arrivée de Georges Mandel au ministère des Colonies. Jusqu’à son départ pour la France, en juillet 1939, il plaide pour un accroissement de l’aide française à une Chine dont il a pu mesurer, en dépit des revers, la capacité de résistance.

Ce récit, vivant, coloré, d’une écriture soignée, n’est pas seulement une contribution à notre connaissance d’une période tragique et souvent négligée de l’histoire contemporaine de la Chine. Il dresse le portrait attachant d’un homme qui appartient à la fois à la dernière génération des serviteurs de l’empire et à la première des fonctionnaires internationaux. »

chaise-porteurs

Var Matin, texte de Delphine Marty, journaliste, 27 décembre 1999

« Le Dragon de l’Est : une histoire et un sujet que l’auteur connaît bien, puisque le jeune ingénieur des Ponts et Chaussées n’était autre que son père. C’est en ouvrant de vieilles malles presque oubliées qu’elle découvre les archives de ce dernier, aussi importantes d’un point de vue historique que personnel : des documents qui intéressent historiens et sinologues. Antoinette Maux-Robert se lance alors dans des investigations approfondies sur cette période méconnue de l’histoire des rapports sino – européens. Pendant plus de dix ans, elle réalise des recherches, auprès des archives du quai d’Orsay, mais aussi en interrogeant de nombreux témoins du passé. « Je ne peux évoquer sans émotion les nombreux témoins de la vie de mon père dont beaucoup, hélas, ont à présent disparu. Ils m’ont tous reçu chaleureusement et m’ont confié leurs souvenirs et leurs documents »

Ainsi les 55 photographies qui illustrent l’ouvrage sont signées Henri Maux lui-même : photos prises au cours de son expédition à travers la Chine, lors de ses différentes missions et tournées d’inspection, dont celle de la fameuse « route de Birmanie », effectuées à bord d’un camion baptisé Le Dragon de l’Est, auquel le livre doit son titre ».

La Jaune et la Rouge, revue des Polytechniciens, texte de Jean-Claude Godard (X 56), ingénieur général des Ponts et Chaussées, janvier 2000

« De 1937 à 1939, l’ingénieur des Ponts et Chaussées coloniaux Henri Maux (20N) est envoyé en Chine par la SDN, comme conseiller technique auprès du gouvernement de Chiang Kai-shek, et pour coordonner le travail des jeunes ingénieurs chinois qui rentraient de l’étranger. Mais c’est alors que débute la longue guerre (huit ans) sino – japonaise. La mission de Maux évolue donc, et va très vite consister à inspecter toutes les voies de communication dans le centre et le sud du pays, dont la route de Birmanie, seule capable de désenclaver Chungking, la nouvelle capitale chinoise.

Le livre est la chronique des différents déplacements d’Henri Maux pour réaliser sa tâche d’expert SDN et de conseiller très écouté du gouvernement chinois. Déplacements nombreux et souvent très périlleux, tâche difficile parce qu’aux impératifs contradictoires : faire respecter la neutralité de la SDN, aider un gouvernement entraîné dans une guerre défensive. Mais mission réussie ! La détermination d’Henri Maux, sa connaissance approfondie du pays, les risques qu’il n’hésite pas à prendre, les liens d’amitié qu’il noue avec ses collègues chinois forcent l’estime des dirigeants chinois et lui donnent une grande « face » en Asie. La fin de sa mission coïncide avec les bouleversements de l’Europe, et il regagne la France. Mais, la guerre 39-45 terminée, c’est lui qui – à la demande du gouvernement chinois – fondera et dirigera la Mission économique française en Chine.

Ce livre présente un intérêt historique certain : à travers la chronique de cette mission, c’est toute l’existence tourmentée de l’Ancien Continent que l’on revit, de l’Indochine coloniale – le grand voisin méridional de la Chine – jusqu’à la pénétration japonaise, en passant par l’agonie de la SDN et les revirements successifs de la politique de la France. Cet ouvrage est d’ailleurs publié avec le concours du ministère des Affaires étrangères. C’est aussi l’histoire d’un jeune couple qui vit dans le courage et la dignité, les pérégrinations d’Henri Maux. Donnons un exemple de ce courage partagé dans le couple : la recherche que fit Maux de son meilleur ami et collègue hydraulicien hollandais, François Bourdrez, disparu avec toute son équipe au cours d’une mission sur le Haut Yangtze. Maux avait décidé de continuer ses recherches jusqu’à ce qu’il eût une certitude. Ayant retrouvé le corps de son ami, il réussit cette mission qu’il s’était donnée à lui-même.

L’auteur du livre, Antoinette Maux-Robert, est la fille d’Henri Maux. Bénéficiant de documents familiaux et professionnels, et ayant consacré plus de dix ans à consulter des archives et recueillir des témoignages concernant son père, elle a soumis son manuscrit à différents sinologues et chercheurs spécialisés. Dans un style alerte, elle narre avec beaucoup de tact ce que fut cette tranche de vie de son père. Certaines descriptions de paysages sont d’une beauté originale, et les photos prises en noir et blanc par son père, sont d’une remarquable esthétique. Un véritable « livre d’histoire », passionnant, sur cette période si peu connue en France ».

Books on China and East Asia, nouvelles publications Le Phénix, Sinobiblia 2000

« Alors que l’Asie, sous la menace japonaise, est sur le point de s’enflammer, un jeune ingénieur des Ponts et Chaussées, Henri Maux, est envoyé en mission auprès de Chiang Kai-shek pour le compte de la Société des Nations. Surpris par la guerre, alors qu’il vient de prendre son poste à Nankin, il vit pendant deux ans une aventure exceptionnelle, dans une Chine qui sombre peu à peu dans un conflit impitoyable. Les 55 photographies qui illustrent ce livre ont été prises de 1937 à 1939, par Henri Maux lui-même, au cours de ses missions, et présentent un véritable intérêt esthétique et documentaire ».

Bibliothèque de l’Ecole Polytechnique, Claudine Billoux, responsable du service des archives, Palaiseau 20 juillet 2000

« … Je ne saurai trop vous remercier pour le don de cette biographie originale, qui apporte un éclairage inédit sur la personnalité de votre père et sur l’état de la Chine à une période – clé de son histoire. Il va de soi que nous attendons la publication du second tome concernant les activités de votre père pendant la guerre de 1939-1945. Ce volume contribuera notamment à enrichir notre fonds dit « X-Résistance », constitué à l’initiative de l’Association du même nom, et qui a pour vocation de collecter les témoignages ( sous forme de biographies, de mémoires, etc ) sur la vie et l’action des polytechniciens lors de la Deuxième Guerre Mondiale. En espérant que votre éditeur saura se laisser convaincre de faire paraître dans des délais raisonnables cet ouvrage relatif à une période qui soulève un intérêt croissant, tant auprès des historiens que du grand public, je vous prie d’agréer, madame, l’assurance de ma considération la plus distinguée ».

University of California, Berkeley : de Jean Han, Assistant Head Chinese Division East Asian Library , Mar. 15, 2001

«… Mr.T.F.Hoang delivered your book to me. It will be cataloged and add to our collection for the use of scholars and students. Thank you very very much. You are most welcome to visit the library and Berkeley campus. On behalf of the East Aisan Library, UC Berkeley, I wish to acknowledge the receipt of the items listed below with appreciation and thanks. Your thoughtfulness helps maintain the strength of the library »

Institut Français de Taipei, Taiwan : le directeur Gérard Chesnel, 9 décembre 1999

« Je vous remercie pour votre livre Le Dragon de l’Est, que m’a remis le Sénateur des Français de l’Etranger. Je l’ai lu avec d’autant plus d’intérêt que cette période de l’histoire des relations franco – chinoises est relativement mal connue. Il ne sera sans doute pas facile de retrouver trace d’éventuels descendants de M. Hsiao ou de M. Chin Fen, mais une chercheuse du Centre d’Etudes Français sur la Chine Contemporaine, Mlle Fiorella Allio, a proposé son aide. Quant aux descendants de T.V. Soong, ils sont probablement installés aux Etats-Unis, près de Soong Mei-lin (Mme Chiang Kai-shek), qui est âgée de 102 ans et vit à New-York. Je ne manquerai pas de vous tenir informée du résultat de mes recherches… »

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